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question

Qui ne s’est pas dit : « haa !  qu’est-ce que je serai heureux si je gagnais au loto ! »

          Ou encore coincé dans les embouteillages :  » grr!!!   mais c’est pour bientôt la cyber transportation ? »         
           Et de ce chéri absorbé par  son match de foot : « Pfff ! et c’est quand qu’il me regarde un peu ? »
         et pendant nos « soirées déprime » : « les autres ? tous des  égoistes hein ? qui pense à moi ? mais quiiiii  !!! »…
 
          Oui, nous avons tous souhaité, à un moment ou à un autre, que les choses changent en notre faveur.  
           Qu’enfin on nous accorde l’attention dont nous avons besoin, que nous méritons…
           Être aimés pour être heureux, être riches pour être bien… être entendus pour être compris, devinés…
           Donnez, donnez-moaa , donnez-moaa…
 
 Ce serait tellement plus simple pas vrai ? Nous ferions bien tous le choix d’ organiser  tout notre environnement  humain et matériel juste pour pour combler nos besoins… Ça pourrait être sympa.
 Un peu comme lorsqu’on est bébé et qu’autour de nous tout est fait pour que nous ne manquions de rien par des gens formidables qui nous aiment, qui anticipent nos envies et qui reconnaissent nos qualités…
Hum … vraiment sympa oui.
Sauf qu’on veut tous la même chose.
Et que forcèment..  je ne vous fais pas un dessin : ce n’est pas possible ….
C’est là qu’il faut comprendre que nous faisons le mauvais choix…
Il est difficile de changer les choses quelquefois, il est impossible de modifier les comportements  des autres encore plus surement…
et pourtant nous mettons tant d’énergie à essayer quand même…
Mauvais choix…
 La seule action envisageable et réaliste, c’ est de tenter d’adapter notre propre comportement, notre propre attitude, nos propres envies..
 On ne change pas les autres, on se change soi… parce qu’il arrive un temps où nous ne sommes plus des bébés.
 La bonne nouvelle, c’est que je peux apprendre que mon bien être n’est pas conditionné par l’action des autres. Oui les autres sont égoïstes, indifférents et nombrilistes. Certes. Tout comme moi.
Mais finalement si je prends conscience de ma valeur, de mes valeurs, de mes compétences et mes capacités, je me rends compte que je peux mettre toutes mes ressources personnelles à profit pour moins de frustrations, moins de souffrance. Et donc plus de plaisir…
Reprendre contact avec mon corps et ses sensations pour plus de détente et moins de stress. Toucher mon cœur, mon esprit pour reprendre confiance en moi.
Développer l’envie, le courage, la motivation, l’harmonie.
 Et.. décider. Décider que je suis riche, peut être pas d’argent, peut être pas d’amis ni de flatteurs d’égo, mais riche de vie. Celle- là même qui permet tout.
Décider que je suis fort. Pas dans les biceps. Fort dans les décisions, les responsabilités que je choisis de prendre, d’assumer.
 Et puis le bonheur,  la passion,  le plaisir, l’argent existent dans notre monde. Ils sont à portée de mains de certains, et déjà dans les mains de certains autres. Alors pourquoi pas nous ?
 Il ne tient qu’à chacun d’entre nous, en travaillant sur nous même et sur notre conscience de la vie, de vivre nos projets, nos amours, notre bonheur.
 Ok vous êtes en doute. Je comprends..
Mais c’est le meilleur choix.
Pour les curieux, les sensibles qui en ont vraiment envie, et tous ceux qui n’attendent pas de miracle mais juste le moyen, l’outil à utiliser, pour se réaliser le plus naturellement possible : essayez la sophrologie.
Elle aide à mettre en place le bon choix qu’on décide de faire de sa vie.
Bien sûr, je le redis, la sophrologie ne guérit pas. Elle ne nous sauvera pas du cancer ou du sida.
Et ce n’est qu’un moyen parmi tant d’autres.
Quelques que soient les épreuves de ma vie, elle me permettra d’améliorer doucement mon état d’être, d’adoucir mes états d’âme. D’affiner la perception de moi-même, d’enrichir mes relations, de me découvrir un équilibre  intérieur.
Et si j’ai mal au dos, j’aurai encore mal au dos après la séance de Sophrologie et demain encore peut-être.  
Mais surement moins, et pendant la séance je l’oublierai. 
C’est toujours ça de gagné.

 

 

 

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